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12 mai 2007
mardi 3 juin 2008, par
Cet endroit pue atrocement aujourd’hui ; enfin, atrocement. C’est une odeur douceâtre, entêtante, désagréable. Ni sucrée, ni acide, juste un petit air de pourri pas trop avancé.
C’est systématique, aujourd’hui : cette portion de chair (qui a la forme d’une bouche élargie d’un sourire idiot) entre le pantalon et le chemisier ou le T-shirt des jeunes filles. Dès qu’elle s’asseyent, on ne peut que regarder. Mon œil est attiré sans échappatoire.
Par contre, je suis de plus en plus remonté contre les innombrables et indigentes conversations de mes contemporains. C’est exaspérant, ces opinions non informées, ces raisonnements aux arguments bancals, ces affirmations péremptoires bouffies d’importance et de stupidité.
L’odeur persiste, l’imbécillité également.